Amap quid ?

Adhérer à une AMAP  « Association pour le Maintien de l’Agriculture Paysanne », c’est devenir acteur.

En privilégiant la vente directe des producteurs aux consom’acteurs, il n’y a plus d’intermédiaires.
L’Amap a pour objectif de rapprocher des consommateurs et des producteurs bio afin de fonder un partenariat durable.
Les produits locaux arrivent directement dans votre panier ! Un panier « santé et saveurs » qui représente un mode d’achat original de bons produits de saison, sains et goûteux, une autre manière d’acheter BIO.

Cela permet de faire quelques économies !

Des produits sains et de saison
Développement de l’agriculture biologique : ni OGM, ni pesticides, ni antibiotiques, ni engrais chimiques, ni hormones…

Des produits locaux
Développement des circuits courts : stop au transport sur des milliers de kilomètres en camion ou avion si on peut produire dans notre région.

Des produits équitables
Garantie d’un revenu stable et juste aux producteurs : le système d’abonnement et de paiement à l’avance permet aux producteurs de se concentrer sur l’essentiel, la qualité de leurs produits et d’avoir une avance de trésorerie pour acheter leurs semences.
Un contrat marchand et social entre producteurs et consommateurs au juste prix qui s’inscrit dans une démarche éco-citoyenne et dans un souci plus large du devenir du système agroalimentaire.

De la convivialité
Enrichissement des liens sociaux entre citadins et producteurs pour mieux se connaître et donc pour mieux se comprendre. La convivialité des rencontres autour de la distribution.
La participation aux visites à la ferme et autres évènements organisés par l’Amap où tous les adhérents agissent bénévolement au service d’une autre façon de vivre.

Alors si vous êtes intéressé, n’hésitez plus ! Venez nous rejoindre pour partager cette solidarité !

et contactez-nous par mail !  amapbocagestmalo@gmail.com
 ou par téléphone : Rozenn ROUALEC 06 15 40 89 10

Petit rappel de définition AB :
Mode d’agriculture qui se caractérise principalement par son refus d’utiliser des produits « chimiques » et qui cherche à renouer avec des pratiques traditionnelles (exemple : jachère). Le terme est apparu vers 1950, par opposition au système de production agricole qui s’est mis en place à partir du XIXe siècle, qualifié de chimique en raison de son usage de produits de synthèse.

Les agriculteurs dits « bio » sont regroupés en fédérations avec des cahiers des charges à respecter pour l’obtention de labels (label biologique, AB) qui comprennent en général :
– utilisation de produits (engrais) aux origines naturelles,
– interdiction, sauf exception, d’intrants d’origine chimique,
– rotation modérée des cultures, élevages peu intensifs, etc… de façon à préserver les sols (reconstitution naturelle).

En agriculture biologique la fertilisation fait appel à des substances d’origine organique, animale ou végétale et à quelques minéraux répertoriés sur une liste. Elle prend aussi en compte l’environnement et des pratiques agricoles adaptées.

Organismes certificateurs bio : Ecocert, Agrocert, Certipaq Bio, Certis, Certisud…

ATTENTION ! D’autres types d’agriculture sont apparus dans les circuits courts. Les « discours » sont positifs mais sachez qu’ils utilisent toujours des pesticides chimiques et engrais chimiques.

L’agriculture raisonnée, système de production agricole dont l’objectif premier est d’optimiser le résultat économique en maîtrisant les quantités d’intrants, et notamment les substances chimiques utilisées (pesticides, engrais) dans le but de limiter leur impact sur l’environnement. Elle a pour objectif d’adapter les apports en éléments fertilisants aux besoins réels des cultures en tendant compte des éléments présents dans le sol et du rendement potentiel de la plante.
8 organismes certificateurs sont habilités à délivrer les qualifications agriculture raisonnée :Aclave, Afaq-Ascert International, Certilim, Certipaq, Moody Certification France, Ocacia, Qualité France SA, Ulase.

L’agriculture durable (également appelée agriculture soutenable) est l’application à l’agriculture des principes du développement durable. Il s’agit donc d’assurer la production de nourriture, de bois, etc… en respectant les limites écologiques, économiques et sociales qui assurent la durabilité dans le temps de cette production. L’agriculture durable ne vise qu’à limiter l’usage de pesticides nuisibles à la santé.